top of page

Entretien avec Laurence BOUDART, "La légende d’Ulenspiegel continue… aux AML."

Laurence BOUDART[1], La légende d’Ulenspiegel continue… aux AML

1) En 1977, le Musée de Mariemont consacra une exposition à La Légende d'Ulenspiegel. Quarante ans plus tard, quels sont les documents ou objets nouveaux à exposer, les nouvelles perspectives à tracer ? Le regard du visiteur a-t-il changé ?

J’étais personnellement trop jeune pour voir l’exposition de 1977 mais, d’après les documents que j’ai pu consulter à son sujet, cette dernière grande manifestation autour de La Légende et du personnage de l’Espiègle en Belgique francophone portait sur l’évolution de ce personnage, depuis les traces folkloriques et légendaires jusqu’à son appropriation par De Coster. Si les concepteurs de Mariemont insistaient, comme nous le faisons par ailleurs, sur la riche iconographie que Till a inspirée à travers le temps, il s’agissait avant tout de faire découvrir des livres, outre le prestigieux manuscrit original que le Musée de Mariemont conserve et qu’il nous a d’ailleurs prêté pour notre exposition.

Aujourd’hui, célébrer une œuvre comme celle produite par De Coster réclame, je pense, une approche plus ouverte, plus variée et qui explore davantage de supports et de réalisations que les seuls ouvrages imprimés. Lorsqu’il parcourt une exposition littéraire, le visiteur averti s’attend à retrouver d’une part ce qu’il connaît déjà, mais aussi à découvrir de nouvelles pièces, inédites, ou de nouvelles connexions qu’il n’avait pas soupçonnées. C’est dans ce sens que nous avons aussi, avec l’Uilenspiegelmuseum de Damme, conçu le parcours. Nous souhaitions explorer à la fois l’amont et l’aval de l’œuvre de De Coster en ayant toujours cette question essentielle à l’esprit : que reste-t-il de La Légende, en tant qu’œuvre littéraire, 150 ans après sa parution ?

Pour nous, le noyau devait être l’épopée forgée par De Coster puisque nous voulions proposer de nouvelles portes d’entrée vers ce texte emblématique pour nos deux univers culturels. Le pari était risqué et complexe, puisqu’il fallait concilier des attentes qui pouvaient parfois sembler antagonistes. Nous avons opté pour mettre l’accent sur sept thématiques, chaque fois illustrées par un extrait du texte, expliquées par un panneau à visée didactique et auxquelles correspondent des documents dans des vitrines. D’autres documents, comme les nombreuses traductions et les travaux scientifiques que le texte a suscités de la part de prestigieux exégètes, complètent le parcours aux AML. Je pense qu’il n’est plus possible d’envisager aujourd’hui une exposition littéraire sans un minimum d’accompagnement textuel, par le biais de panneaux explicatifs et de cartels un peu développés. Le visiteur doit certes se trouver emporté, surpris, séduit même par les pièces qu’il découvre, mais s’il ne perçoit pas en parallèle, intellectuellement, les liens que celles-ci entretiennent entre elles et avec le sujet exposé, le but n’est pas atteint. Il faut trouver un équilibre entre découverte sensorielle, plaisir esthétique et ouverture émotionnelle, d’une part, et appropriation de connaissances, de l’autre. C’est du moins comme cela que je perçois la conception d’une exposition littéraire en 2017.

2) De quelle « image littéraire » De Coster et sa Légende bénéficient-ils aujourd'hui dans les milieux scolaires, universitaires, éditoriaux ?

Dans l’enseignement secondaire et d’un point de vue théorique, De Coster apparaît dans les « Compétences terminales et savoir requis en français »[2] en Fédération Wallonie-Bruxelles. La Légende (sans son auteur, ce qui est significatif) figure dans une liste de sujets suggérés pour amener les élèves à maîtriser certaines références littéraires et artistiques du patrimoine culturel contemporain, au titre d’illustration de « la soif de liberté ». Plus proche de l’expérience de terrain, on trouve la récente enquête menée autour des pratiques d’enseignement de la littérature belge et dont la revue Prof[3] a rendu compte des conclusions dans son numéro de l’été 2016. Au-delà de toutes les considérations sur la place encore trop faible de l’enseignement de nos lettres, il apparaît, sans grande surprise, que Charles De Coster se classe parmi les écrivains dits « patrimoniaux », aux côtés de Maurice Maeterlinck et Georges Rodenbach, qui caracolent ex aequo en tête de la catégorie. L’auteur bruxellois figure tout de même en troisième position, tout juste devant Émile Verhaeren et Camille Lemonnier. Autre élément intéressant : les enseignants interrogés associeraient généralement ces grands maîtres au courant qu’ils illustrent à l’exception, justement, de De Coster, éternel inclassable. À l’université, les aspirants romanistes doivent tous suivre un cours de littérature belge, au programme duquel De Coster se trouve. Ce qu’ils en retiennent et retirent ? Difficile à dire…

D’un point de vue éditorial, maintenant, les initiatives sont plus facilement mesurables. Après avoir consacré l’un de ses six dossiers pédagogiques annuels (gratuits, téléchargeables en pdf) au roman de De Coster en 2016, la collection Espace Nord annonce une nouvelle édition de La Légende pour l’automne 2017, entièrement revue par Jean-Marie Klinkenberg, visant à retourner à un texte au plus proche de ce que De Coster souhaitait. Une entreprise philologique qui se situe dans le sillage des travaux pionniers de Joseph Hanse, mais avec les outils et les aspirations d’aujourd’hui. Deux versions seront proposées à la vente : une version courante, mais dans un format un peu plus grand que les volumes de la collection pour permettre au long texte de prendre toute son ampleur sans donner l’impression d’avoir à faire à une « brique » ; et un volume de luxe, hors commerce, pour une édition numérotée et limitée à cent exemplaires, illustrée par des gravures sur bois inédites de l’artiste belge contemporain Olivier Deprez. Sans véritable enjeu commercial, une telle entreprise révèle l’intérêt patrimonial de l’œuvre de De Coster, 150 ans après sa première publication.

3) L'empathie : est-ce la clé d'accès à l'imaginaire des jeunes (et moins jeunes) aujourd'hui ?

On accorde aujourd’hui une place de plus en plus importante à la prise en compte des émotions dans la médiation culturelle. Dans un monde où le matériel semble souvent avoir pris le pas sur le sensible, le recours à l’empathie peut permettre aux plus jeunes d’appréhender un imaginaire autre que celui de l’immédiatement accessible auxquels ils sont confrontés au quotidien. Sans être une modalité exclusive, cette approche peut venir compléter des dispositifs déjà existants en muséologie. D’aucuns lui reprocheront sans doute sa superficialité, néanmoins, sans se substituer à la dimension intellectuelle de toute exposition littéraire – car ce n’est pas son but, bien au contraire, une prise en compte du potentiel de l’empathie peut faciliter l’appropriation de savoirs, en éveillant d’une autre manière la curiosité pour une matière souvent réputée difficile ou peu attrayante.

Dans cette exposition, nous avons choisi de placer certains documents susceptibles d’éveiller, si non l’empathie, du moins un réseau d’émotions auprès d’un public plus jeune, moins facilement enclins à adhérer d’emblée à ce qu’on propose dans une exposition littéraire. Recourir à des objets qui leur sont plus familiers, comme une bande dessinée, une plaque de rue, un masque, permet également de désacraliser l’auteur et son œuvre. Le double mouvement de sacralisation et désacralisation doit être pris en compte dans une exposition littéraire en 2017.

4) Entre sacralisation et désacralisation justement, sur quel chemin, du paradis ou du purgatoire, placer La légende en 2017 ?

Comme tous les chefs d’œuvre de la littérature mondiale, La Légende est sans doute passée par des périodes moins fastes en 150 ans d’existence. Aujourd’hui, l’anniversaire aidant, on observe un certain regain d’intérêt que notre double exposition veut à la fois nourrir et capitaliser. Outre la réédition par Espace Nord dont il a déjà été question, le théâtre de Toone propose un nouveau spectacle[4] à partir du texte de De Coster, pour ce printemps. Les marionnettes bruxelloises s’approprient La Légende en se demandant si elles ne sont pas « les Uilenspiegel du XXIe siècle »[5]. Le roman de De Coster avait déjà fait l’objet d’une adaptation pour marionnettes en 1968, puis en 1988. Entendre résonner à nouveau ce texte dans ce lieu mythique de la culture bruxelloise – y compris dans une version en « Brussels vloms », rend un bel hommage à son auteur et montre qu’il se trouve plus proche du paradis que des enfers ! D’autres lieux de la culture contemporaine ont offert une tribune à La Légende en 2017 : la Foire du Livre lui a réservé un espace de parole, une table ronde à laquelle j’ai eu la chance de participer aux côtés de Jacques De Decker, Mme Géal et Roel Jacobs, face à un public nourri, ce qui est loin d’être une évidence quand on songe à la pléthore d’événements organisés à tout moment sur le site de la Foire. La concurrence était rude et pourtant, La Légende et son auteur ont éveillé bien plus que des souvenirs scolaires. Leur aspect contestataire, libertaire et engagé furent plusieurs fois soulignés à cette occasion, de même qu’ils l’ont été dans plusieurs des conférences[6] et émissions de radio[7] récemment consacrées au roman. Les thèmes universels qu’ils portent, si criants d’actualité dans le paysage politique de 2017, m’amènent à penser que La Légende a encore de beaux jours devant elle.

5) Expliquez-nous la notion d’« authenticité », à propos de l'exposition présentée aux AML.

L’atout des expositions artistiques se situe dans le dévoilement de pièces authentiques. Personnellement, je considère les expositions littéraires comme des variantes des expositions d’art : on s’y rend également pour y trouver des objets authentiques. Et cela même si, en se tenant à une définition stricte, une exposition littéraire ne peut être authentique. Seules les maisons d’écrivains pourraient à la rigueur en présenter les caractéristiques, et encore ! En effet, une fois sorti de son contexte, un objet, qu’elle qu’en soit la nature, cesse d’être authentique. Néanmoins, à l’heure où la question de la reproduction façonne notre quotidien, posséder une copie de n’importe quelle pièce artistique est extrêmement aisé, sur toute sorte de support (de l’image encadrée au t-shirt, en passant par le gif animé), le document authentique acquiert dès lors une aura neuve et magnifiée.

À l’exception d’un document que nous avons choisi de présenter en reproduction pour des questions de sécurité, toutes les pièces présentées dans notre exposition sont authentiques, depuis les ouvrages historiques sur le XVIe siècle que De Coster aurait utilisés comme sources jusqu’au livre d’artiste unique d’Anne Arc (2016) inspiré de La Légende, en passant par le premier numéro de la revue Uylenspiegel qu’animaient notamment Charles De Coster et Félicien Rops, et le manuscrit original de La Légende. C’est pour nous un facteur déterminant que de présenter des documents originaux, souvent uniques ou inédits. Outre le renforcement de l’impact que cela peut avoir sur le visiteur, la notion d’authenticité ressort intrinsèquement à l’identité même des Archives & Musée de la Littérature en tant qu’institution en charge de la conservation et la mise en valeur du patrimoine littéraire et théâtral de la Belgique francophone. 6) Les expositions : une voie royale pour permettre aux jeunes générations de nouer « autrement » des liens avec leur patrimoine culturel ?

Les expositions littéraires ouvrent une fenêtre différente sur une œuvre, un auteur, un courant, que ce que la seule lecture offre. Plonger dans une œuvre en la lisant reste une expérience individuelle. Visiter une exposition, en particulier en groupe et avec la médiation appropriée peut devenir une expérience partagée, même si le rapport aux documents proposés et aux textes d’accompagnement demeure, in fine, individuel. Les deux démarches devraient idéalement se compléter car visiter une exposition littéraire sans avoir pris connaissance, au préalable, de l’œuvre ou de l’auteur peut parfois se révéler frustrant. A contrario la visite peut se présenter comme la porte d’entrée vers l’œuvre. Dans tous les cas, même dans une exposition comme celle-ci, qui prétend renouer avec l’œuvre et la placer au centre du parcours, le visiteur se retrouve face à un réseau bien plus large – et complémentaire – que celui éveillé par la seule lecture. Par sa matérialité, en outre, le patrimoine collectif ainsi découvert s’approprie autrement que par une approche livresque ou strictement limitée au contexte de la classe. 7) Comment furent conçues les expositions de Bruxelles et de Damme : une œuvre, deux sensibilités « muséales » ?

Je voudrais vraiment insister sur le fait qu’il s’agit d’une véritable collaboration : tout, depuis la thématique, le parcours, les textes d’accompagnement jusqu’à la scénographie, a été décidé d’un commun accord et dans l’entente la plus cordiale (et bilingue !) Cependant, dès les toutes premières discussions que nous avons eues, il est apparu comme une évidence que nous aurions à décliner cet axe commun de deux manières différentes, à Bruxelles et à Damme, pour mieux répondre aux attentes supposées de nos publics respectifs.

Les visiteurs des AML ont pour habitude de se trouver face à des expositions pointues, à visée scientifique plus que purement vulgarisatrice. De son côté, le public de l’Uilenspiegelmuseum de Damme se compose souvent de familles, de visiteurs qui profitent, surtout l’été, d’une excursion d’un jour vers cette charmante petite ville depuis la côte ou depuis Bruges. Il fallait donc s’adapter de part et d’autre tout en maintenant à la fois un même scénario – celui qui donne un accès renouvelé à ce livre vieux de 150 ans – à travers 7 thématiques clés.

Un documentaire, bilingue lui aussi, se trouve en préparation. Il complètera et prolongera les deux manifestations en offrant un matériau pérenne, réutilisable. La question centrale reste la même pour cette autre production : que reste-t-il, en 2017, de La Légende d’Ulenspiegel, premier roman francophone, original par sa thématique, sa langue et sa structure narrative, repris par l’imaginaire flamand pour en définir des contours identitaires ? Plus que de la poser, à vrai dire, le documentaire comme la double exposition[8] affirment en majesté ce que le titre que nous avons choisi clame. Qu’en 2017 La Légende continue et que son personnage phare, Ulenspiegel, est éternellement jeune.

Laurence Boudart Directrice adjointe des Archives et Musée de la Littérature

Boulevard de l'Empereur 4 1000 Bruxelles Tél. : +32 2 519 55 91 - Fax : +32 2 519 55 83 Suivez-nous sur FB : https://www.facebook.com/ArchivesMuseeDeLaLitterature

Possibilité d’organiser des visites (individuelles ou de groupe) sur demande auprès de L. Boudart.

[1] Laurence Boudart, « L’empathie : une modalité de l’expérience muséale de la littérature », dans Marie-Clémence Régnier (sous la dir.), Interférences littéraires/Literaire interferenties, Ce que le musée fait à la littérature. Muséalisation et exposition du littéraire, n° 16, juin 2015, pp. 61-77.

Laurence Boudart & Christophe Meurée, « Objets authentiques, objets sacrés : de la construction de l’émotion patrimoniale », communication présentée lors du colloque international Émotions littéraires, émotions patrimoniales, organisé par les universités de Paris 8 et Paris 3, 1-2 décembre 2016.

[2] Ministère de la Communauté française de Belgique, Compétences terminales et savoirs requis en français. Humanités générales et technologiques, 1999 (voir Fédération Wallonie Bruxelles, Enseignement.be, « Compétences terminales et savoirs requis - humanités générales et technologiques - français », http://www.enseignement.be/index.php?page=25189, consulté le 5/5/2017).

[3] Voir Prof. La revue des professionnels de l’enseignement. Dossier « La littérature belge en classe », juin-juillet-août 2016, N° 30 (http://www.enseignement.be/upload/docs/000000000005/000000013212_IOVKSQAI.pdf, mis en ligne en juin 2016, consulté le 5/5/2017).

[4] Théâtre royal de Toone, Programme : Tyl Uylenspiegel (http://www.toone.be/programme/article/tyl-uylenspiegel-77, consulté le 5/5/2017).

[5] Agenda.brussels, « Nos marionnettes ne sont-elles pas les Ulenspiegel du XXIe siècle ? » (https://agenda.brussels/fr/event/413497/nos-marionnettes-ne-sont-elles-pas-les-ulenspiegel-du-xxieme-siecle.html, consulté le 5/5/2017)

[6] Conférence de Roel Jacobs aux Riches Claires : L’Ulenspiegel de Charles De Coster, le Robin des Bois de la Flandre, 29/3/2017, Bibliothèque des Riches Claires Bruxelles.

[7] Roel Jacobs, « Tijl Ulenspiegel », in La Première, Un jour dans l’Histoire (http://rtbf-pod.l3.freecaster.net/pod/rtbf/geo/open/h/hLx8LCMVUQ.mp3, consulté le 5/5/2017) (lire aussi : https://www.rtbf.be/lapremiere/article/detail_tijl-ulenspiegel-un-heros-flamand?id=9560287, consulté le 5/5/2017).

Écouter aussi : Eddy Cackelberghs, « Première de couverture : Gilles Paris ‘Le Vertige des Falaises’ / Laurence Boudart pour le Livre et l’Expo Ulenspiegel », in La Première (https://www.rtbf.be/auvio/detail_premiere-de-couverture?id=2215733, en particulier de 16’10’’ à 25’17’’, mis en ligne le 21/5/2017, consulté le 21/5/2017).

[8] Qui a été retenue comme l’un des 18 projets soutenus en 2017 par l’Accord culturel Communauté française/Communauté flamande, de rayonnement biculturel (http://www.cultuurculture.be/projecten-projets/2017-2/).

[1] Laurence Boudart, « L’empathie : une modalité de l’expérience muséale de la littérature », dans Marie-Clémence Régnier (sous la dir.), Interférences littéraires/Literaire interferenties, Ce que le musée fait à la littérature. Muséalisation et exposition du littéraire, n° 16, juin 2015, pp. 61-77.

Laurence Boudart & Christophe Meurée, « Objets authentiques, objets sacrés : de la construction de l’émotion patrimoniale », communication présentée lors du colloque international Émotions littéraires, émotions patrimoniales, organisé par les universités de Paris 8 et Paris 3, 1-2 décembre 2016.

[1] Ministère de la Communauté française de Belgique, Compétences terminales et savoirs requis en français. Humanités générales et technologiques, 1999 (voir Fédération Wallonie Bruxelles, Enseignement.be, « Compétences terminales et savoirs requis - humanités générales et technologiques - français », http://www.enseignement.be/index.php?page=25189, consulté le 5/5/2017).

[1] Voir Prof. La revue des professionnels de l’enseignement. Dossier « La littérature belge en classe », juin-juillet-août 2016, N° 30 (http://www.enseignement.be/upload/docs/000000000005/000000013212_IOVKSQAI.pdf, mis en ligne en juin 2016, consulté le 5/5/2017).

[1] Théâtre royal de Toone, Programme : Tyl Uylenspiegel (http://www.toone.be/programme/article/tyl-uylenspiegel-77, consulté le 5/5/2017).

[1] Agenda.brussels, « Nos marionnettes ne sont-elles pas les Ulenspiegel du XXIe siècle ? » (https://agenda.brussels/fr/event/413497/nos-marionnettes-ne-sont-elles-pas-les-ulenspiegel-du-xxieme-siecle.html, consulté le 5/5/2017)

[1] Conférence de Roel Jacobs aux Riches Claires : L’Ulenspiegel de Charles De Coster, le Robin des Bois de la Flandre, 29/3/2017, Bibliothèque des Riches Claires Bruxelles.

[1] Roel Jacobs, « Tijl Ulenspiegel », in La Première, Un jour dans l’Histoire (http://rtbf-pod.l3.freecaster.net/pod/rtbf/geo/open/h/hLx8LCMVUQ.mp3, consulté le 5/5/2017) (lire aussi : https://www.rtbf.be/lapremiere/article/detail_tijl-ulenspiegel-un-heros-flamand?id=9560287, consulté le 5/5/2017).

Écouter aussi : Eddy Cackelberghs, « Première de couverture : Gilles Paris ‘Le Vertige des Falaises’ / Laurence Boudart pour le Livre et l’Expo Ulenspiegel », in La Première (https://www.rtbf.be/auvio/detail_premiere-de-couverture?id=2215733, en particulier de 16’10’’ à 25’17’’, mis en ligne le 21/5/2017, consulté le 21/5/2017).

[1] Qui a été retenue comme l’un des 18 projets soutenus en 2017 par l’Accord culturel Communauté française/Communauté flamande, de rayonnement biculturel (http://www.cultuurculture.be/projecten-projets/2017-2/).

Posts à l'affiche
Posts Récents
Archives
Rechercher par Tags
Retrouvez-nous
  • Facebook Basic Square
  • Twitter Basic Square
  • Google+ Basic Square
bottom of page